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Maurice Genevoix
Maurice Genevoix en 1949 posant pour le Studio Harcourt.
Fonctions
Président
Société des Amis du Muséum national d'histoire naturelle et du Jardin des plantes
-
Maurice Fontaine
Secrétaire perpétuel de l'Académie française
-
Georges Lecomte
Jean Mistler
Président du jury du festival de Cannes
André Maurois
Jean Cocteau
Fauteuil 34 de l'Académie française
-
Joseph de Pesquidoux
Jacques de Bourbon Busset
Président
Défense de la langue française
Léon Bérard
Jean Mistler
Biographie
Naissance
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Decize (Nièvre, Bourgogne)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 89 ans)
Xàbia (Communauté valencienne, Alicante, Espagne)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Passy (jusqu'au ), Panthéon (depuis le )Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Charles Louis Maurice GenevoixVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Domiciles
Châteauneuf-sur-Loire, Decize, Saint-Denis-de-l'HôtelVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École normale supérieure
Lycée Lakanal
Lycée Pothier d'OrléansVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Écrivain, biographe, poète, officier de réserveVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Rédacteur à
Revue des Deux MondesVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Suzanne Genevoix (d) (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Sylvie GenevoixVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie française ()
Défense de la langue française
Société des Amis du Muséum national d'histoire naturelle et du Jardin des plantesVoir et modifier les données sur Wikidata
Conflit
Première Guerre mondialeVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvements
Roman, poèmeVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Prix Goncourt ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Liste détaillée
Prix Marcelin-Guérin ()
Prix Blumenthal ()
Prix Goncourt ()
Prix Paul-Flat ()
Grand-croix de la Légion d'honneur? ()
Grand prix national des Lettres ()
Ordre national du Mérite
Grande médaille d'or de la Société d'encouragement au progrès
Commandeur des Arts et des Lettres?
Ordre des Arts et des Lettres
Grand-croix de l'ordre national du Mérite
Croix de guerre 1914-1918
Commandeur des Palmes académiques
Médaille commémorative de la bataille de VerdunVoir et modifier les données sur Wikidata
?uvres principales
Raboliot, La Dernière Harde, La Forêt perdue, Un jour, Les Compagnons de l'AubépinVoir et modifier les données sur Wikidata
Plaque commémorative

Maurice Genevoix, né le à Decize (France) et mort le à Xàbia (Espagne), est un écrivain et poète français, membre de l'Académie française.

L'ensemble de son ?uvre témoigne des relations d'accord entre les Hommes, entre l'Homme et la nature, mais aussi entre l'Homme et la mort. Alors qu'il est héritier du réalisme, son écriture est servie par une mémoire vive, le souci d'exactitude et le sens poétique. Normalien, il admire tout autant l'éloquence des artisans ou des paysans. D'une grande vitalité malgré ses blessures reçues au combat lors de la Première Guerre mondiale, et animé de la volonté de témoigner, il écrit jusqu'à ses derniers jours. Son ?uvre, portée par le souci de perpétuer ce qu'il a tenu pour mémorable, produit d'une grande longévité littéraire, rassemble cinquante-six ouvrages.

Il est surtout connu pour ses livres régionalistes inspirés par la Sologne et le Val de Loire, comme son roman Raboliot (prix Goncourt 1925). Il a cependant dépassé le simple roman du terroir par son sobre talent poétique qui, associé à sa profonde connaissance de la nature, a donné des romans-poèmes admirés, comme La Dernière Harde (1938) ou La Forêt perdue (1967).

Son ?uvre est également marquée par le traumatisme de la Grande Guerre (1914-1918), particulièrement dans Ceux de 14, recueil de récits de guerre rassemblés en 1949, considéré comme l'un des plus grands témoignages sur ce conflit. Il s'est aussi penché plus largement et plus intimement sur sa vie en écrivant une autobiographie, Trente mille jours, publiée en 1980.

Sur décision du président de la République française Emmanuel Macron, le cercueil de Maurice Genevoix entre au Panthéon le .

Biographie

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Enfance

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Descendant d'un ancêtre genevois catholique ayant fui la Genève calviniste vers 1550-1560 pour rejoindre la Creuse ? et dont le patronyme prend alors un x final ?, Maurice Genevoix est issu d'une famille de médecins et de pharmaciens par sa lignée paternelle.

Son père, Gabriel Genevoix, rencontre en 1889 Camille Balichon, fille d'un épicier en gros, à Châteauneuf-sur-Loire. Maurice, naît en 1890 à Decize, dans la Nièvre, à 35 km en amont de Nevers.

Un an plus tard, ses parents migrent à Châteauneuf-sur-Loire pour reprendre une affaire familiale, un « magasin » réunissant une épicerie et une mercerie. Il puisera de cette période la plupart des souvenirs évoqués dans Trente mille jours et Au cadran de mon clocher. Il tiendra pour un privilège d'avoir passé son enfance dans une bourgade rurale d'avant 1914. Son frère René naît en 1893.

Alors qu'il n'a que 12 ans, sa mère meurt, le , d'une attaque d'éclampsie. De cette perte il gardera une éternelle déchirure qui transparaîtra dans plusieurs romans, comme Fatou Cissé ou Un jour. Le veuvage de son père le laisse esseulé. Il trouve cependant un réconfort sur les bords de la Loire où il passe son temps libre et où il puisera l'inspiration de ses futurs écrits (Remi des Rauches, La Boîte à pêche, La Loire, Agnès et les garçons).

Études

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Plaque rappelant les études de Maurice Genevoix au lycée Pothier, à Orléans.

Déclaré deuxième du canton au certificat d'études (il est reçu premier ex aequo au vu des résultats, mais est déclaré deuxième par le jury qui, voulant le départager de Benoist, pose des questions aux deux ex aequo, jusqu'à ce que l'un d'eux, et ce fut Genevoix, ne puisse répondre à une question, celle de dire quelle rivière séparait la France et l'Espagne), il entre interne au lycée Pothier à Orléans. Il découvre alors « l'encasernement, la discipline, les sinistres et interminables promenades surveillées ». Il retracera cette période de sa vie dans L'aventure est en nous. Puis il entre pensionnaire au lycée Lakanal à Sceaux, près de Paris, où il est khâgneux durant trois années (1908-1911). Il est admis à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm. Il effectue une des deux années de service militaire, comme le permettait alors le statut particulier des jeunes Français admis aux grandes écoles. Il est affecté à Bordeaux, au 144 régiment d'infanterie. Il entre ensuite à l'École normale supérieure et, deux ans plus tard, présente son diplôme de fin d'études supérieures sur « le réalisme dans les romans de Maupassant ». C'est à cette période qu'il envisage une carrière littéraire. Mais ce sont les encouragements de Paul Dupuy l'incitant à écrire son témoignage de guerre qui l'emportent sur l'orientation du jeune Genevoix.

Il est alors cacique de sa promotion. Il lui reste à accomplir une dernière année d'études universitaires pour se présenter à l'agrégation et aborder une carrière universitaire. Il pense alors à se faire nommer comme lecteur dans une université étrangère pour connaître des formes de cultures originales, mais également afin de disposer de temps pour écrire.

Grande Guerre

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Maurice Genevoix en 1915, en uniforme pour la Première Guerre mondiale.

Officier de réserve depuis qu'il a effectué son service militaire, il est mobilisé lors de la Première Guerre mondiale, le , et sert comme sous-lieutenant au 106 régiment d'infanterie, dans la 8 compagnie jusqu'en , puis dans la 7 compagnie à partir de . Sa division, la 12 DI, appartient à la 3 armée commandée par le général Ruffey, qui est remplacé par le général Sarrail le . Il participe à la bataille de la Marne et à la marche sur Verdun.

Le , la 24 brigade d'infanterie (106 et 132 RI) est chargée de reprendre la crête des Éparges. Du 17 février au de violents combats se succèdent jusqu'à la prise définitive de la majeure partie de la crête par les troupes françaises. Les combats se poursuivront sans que les Allemands puissent reprendre la crête. Auguste Finet, soldat dans la section commandée par Genevoix, indique dans ses mémoires que sur les 52 hommes de la section ayant pris part à cette attaque, seulement six dont Genevoix demeurent « indemnes ».

Son meilleur ami dans cette guerre, un saint-cyrien, le lieutenant Robert Porchon (1894-1915), tombe au champ d'honneur le .

Maurice Genevoix est muté à la fin du mois de février 1915 à la 5 compagnie du 106 RI dont il prend le commandement. Il est promu lieutenant le . Le , Genevoix est grièvement blessé dans des combats à Rupt-en-Woëvre près de la colline des Éparges.

« Je suis tombé un genou à terre. Dur et sec, un choc a heurté mon bras gauche. Il saigne à flots saccadés. Je voudrais me lever, je ne peux pas. Mon bras tressaute au choc d'une deuxième balle et saigne par un trou. Mon genou pèse sur le sol comme si mon corps était en plomb. Ma tête s'incline et sous mes yeux un lambeau d'étoffe saute au choc mat d'une troisième balle. Je vois sur ma poitrine un profond sillon de chair rouge. »

La lettre du docteur Lagarrigue adressée à Maurice Genevoix le témoigne de la gravité de ses blessures :

« Je suis navré de vous savoir si grièvement touché. Mon pauvre vieux, c'est avec une émotion profonde que je vous ai vu, accablé de fatigue et j'oserais dire de ?gloire?, sur cette poussette incommode qui vous amenait à Mouilly. Je n'ai pensé qu'à vous expédier au plus vite à Verdun, car votre pâleur m'inquiétait beaucoup. Je suis navré certes, mais rassuré maintenant ; je craignais le pire, et l'absence de nouvelles m'impressionnait péniblement. »

Il est soigné sept mois durant, conduit d'un hôpital à l'autre : Verdun, Vittel, Dijon, puis Bourges. Il doit peut-être en partie sa survie à sa remarquable condition physique. Les blessures reçues au bras et au flanc gauche le marquèrent pour le restant de sa vie. Il est réformé à 70 % d'invalidité et perd l'usage de la main gauche.

Il retourne alors à Paris où il assure un service bénévole à la Father's Children Association, logeant à l'École normale. Le nouveau directeur de l'école, Gustave Lanson, lui propose de reprendre ses études afin de se présenter à l'agrégation. Maurice Genevoix refuse afin d'entreprendre la rédaction de son témoignage de guerre.

Rencontre des Vernelles

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Clocher de Châteauneuf-sur-Loire : l'idée d'un cycle de romans réalistes centré sur un village de la Loire débouche sur Remi des Rauches, puis Raboliot, mais n'est pas poursuivie.
Maurice Genevoix avait cherché une maison sur les bords de la Loire : il n'en trouva pas à Chateauneuf-sur-Loire et « vala » ainsi jusqu'aux Vernelles, à Saint-Denis-de-l'Hôtel.

Gravement atteint de la grippe espagnole en 1919, il retourne chez son père dans le Val de Loire, retrouvant le village de son enfance. Après avoir été écrivain de guerre, il entreprend la peinture du pays de Loire.

En 1927, tirant parti du prix Goncourt décerné pour Raboliot (1925), il rachète une vieille masure au bord de la Loire à Saint-Denis-de-l'Hôtel, au hameau des Vernelles, « une vieille maison, rêveuse, pleine de mémoire et souriant à ses secrets ». Il y passe un premier été avec le chat Rroû, période dont il tirera un roman du même nom. Après la mort de son père en , il s'y installe en 1929, pour un premier séjour qui durera vingt ans. C'est dans cette maison, dans un bureau donnant sur la Loire, qu'il écrira la plupart de ses livres.

Pendant les années 1930, il est souvent calomnié par des nationalistes français, dont des Croix-de-Feu, des cagoulards, ou des Camelots du roi, qui lui reprochent le fait que pendant la Première Guerre mondiale, il n'a été soldat que d'août 1914 à avril 1915, soit moins d'un an. Il fut profondément meurtri par ces attaques, du fait qu'il avait été grièvement blessé en avril 1915, et en était resté marqué dans sa chair. À la même époque, après la sortie du film Les Croix de bois, le comédien Charles Vanel sera lui aussi victime des nationalistes, car il ne fut militaire mobilisé que deux mois, en 1914, avant de souffrir de troubles psychiques et psychologiques, menant à sa réforme.

Le , Maurice Genevoix épouse Yvonne Louise Montrosier (1908-1938), médecin originaire de Saint-Victor-et-Melvieu, près de Saint-Affrique, qui meurt l'année suivante. En , il apprend que la France et la Grande-Bretagne ont déclaré la guerre à l'Allemagne alors qu'il est en voyage au Canada. De à début 1943, il quitte les Vernelles, en zone occupée, pour s'installer en Aveyron, chez ses beaux-parents. Il y écrit Sanglar (rebaptisé plus tard La Motte rouge), un épisode romanesque des guerres de Religion, dont l'épigraphe d'un moine de Millau évoque à mi-mot l'Occupation : « C'était un temps fort calamiteux et misérable. » Il épouse le Suzanne Neyrolles (1911-2012), veuve, déjà mère d'une fille prénommée Françoise, puis rejoint les Vernelles, qu'il retrouve saccagées. En 1944 naît sa fille, Sylvie.

Académie française

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Il est élu sans concurrent à l'Académie française le , le même jour qu'Étienne Gilson, puis reçu le par André Chaumeix au fauteuil de Joseph de Pesquidoux. Il s'était porté candidat plus tôt la même année au fauteuil de Louis Gillet, mais s'était retiré devant Paul Claudel. Quatre ans plus tard, il s'installe à Paris, ville qu'il apprend à aimer, dans un appartement de l'Institut, quai Conti.

Il devient secrétaire perpétuel de l'Académie française en , succédant à Georges Lecomte. De 1958 à 1963, il rédige personnellement le discours d'attribution à chaque lauréat des grands prix de littérature, du roman, de poésie ou d'histoire (Grand prix Gobert). Sous son impulsion, l'Académie française affirme sa présence et sa compétence au sein du Haut Comité de la langue française, créé en 1966, et du Conseil international de la langue française. Sous son autorité ont été créées les commissions ministérielles de terminologie qui proposaient des équivalents aux termes anglais proliférant dans les vocabulaires scientifiques et techniques. Les propositions étaient soumises à l'Académie des sciences et à l'Académie française avant d'être officialisées par arrêté ministériel (le premier arrêté ministériel date de 1972).

Il démissionne du poste de secrétaire perpétuel de l'Académie en , ce qu'aucun secrétaire perpétuel n'avait plus fait avant lui depuis Georges Duhamel en 1946 . À 83 ans, il pense en effet qu'il a encore d'autres livres à écrire, et doit pour ce faire se démettre de ses fonctions. D'aucuns verront dans cette démission l'expression de son goût pour la liberté.

Retraite aux Vernelles

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Tombe de Maurice Genevoix au cimetière de Passy, à Paris.
Tombe de Maurice Genevoix au Panthéon (crypte numéro 13).

Maurice Genevoix quitte alors Paris pour retrouver les Vernelles qu'il considère comme son port d'attache. Devenu octogénaire, il écrit régulièrement et publie Un jour (1976), puis Lorelei (1978) et Trente mille jours (1980). À l'âge de 89 ans, il nourrit encore un projet de roman, traitant du passage de l'enfance à l'adolescence, avec l'intention de mettre en épigraphe une citation de Victor Hugo : « L'un des privilèges de la vieillesse, c'est d'avoir, outre son âge, tous les âges. » Il conserve jusqu'à sa mort ses facultés intellectuelles ; il est même, pendant les dix dernières années de sa vie et jusqu'à sa mort, de 1970 à 1980, président de la Société des Amis du Muséum national d'histoire naturelle. Il a aussi présidé Défense de la langue française entre 1960 et 1980 .

Maurice Genevoix était favorable à la langue internationale espéranto, comme en témoigne cette réponse à Pierre Delaire dans une émission radiodiffusée de la RTF du 18 février 1954, en jugeant notamment que « l'espéranto est en mesure d'exprimer les nuances les plus subtiles de la pensée et du sentiment (...) et [qu']il ne peut pas porter ombrage aux fidèles des langues nationales ».

Il meurt d'une crise cardiaque le , alors qu'il est en vacances dans sa maison d'Alsudia-Cansades, près de Xàbia (province d'Alicante) en Espagne. Sur sa table d'écrivain, il laisse inachevé son projet de roman intitulé Vent de mars, de même qu'un autre projet, Nouvelles espagnoles . Il fut enterré au cimetière de Passy (12 division) à Paris.

Le , sur décision du président Emmanuel Macron et après un report d'un an, ses cendres sont transférées au Panthéon.

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  3. ? Pouillot 1998, p. 69.
  4. ? Anne Patzerkovsky (1991),« Images pour un Genevoix sans murs : les pérégrinations du romancier hors de France », Maurice Genevoix 1890-1980, éd. Bibliothèque historique de la Ville de Paris.
  5. ? Trente mille jours, Seuil, , p. 70.
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  8. ? Jacques Jaubert, « Maurice Genevoix s'explique », Lire Magazine,‎ , p.26.
  9. ? Jean-Jacques Becker, « Du témoignage à l'histoire », préface à Ceux de 14, Paris, éd. Omnibus, 2000.
  10. ? Christian Melchior-Bonnet, « Maurice Genevoix », Livres de France - Revue littéraire mensuelle, vol. 12, n 2,‎ , p.2.
  11. ? Association Maurice Genevoix 1998, p. 10.
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  13. ? Fiche du lieutenant Porchon sur le site La Saint-Cyrienne.
  14. ? Jean-Jacques Becker, « Du témoignage à l'histoire », préface à Ceux de 14, Paris, éd. Omnibus, 2000.
  15. ? Ceux de 14 : un témoignage, des hommes, dossier établi par Florent Deludet dans Maurice Genevoix (préf. Michel Bernard), Ceux de 14, Paris, Flammarion, , 953 p. (ISBN 978-2-08-130985-2), p. 872-873.
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  20. ? Michel Déon. Discours prononcé à l'occasion de la mort de M. Maurice Genevoix. Séance du jeudi 25 septembre 1980.
  21. ? Michel Déon. Réponse de Michel Déon au discours de M. Jacques de Bourbon Busset. Discours prononcé dans la séance publique le 28 janvier 1982. Paris, Palais de l'Institut.
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  23. ? Mairie de Paris (1991), « Les Vernelles » , op. cit., p. 93-94.
  24. ? Association Maurice Genevoix 1998, p. 19.
  25. ? Mentions marginales de ses deux mariages sur son acte de naissance, AD 58 en ligne, Decize, 2Mi EC 172, vue 252/320, acte 107.
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  33. ? « DLF », sur langue-francaise.org (consulté le ).
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  37. ? « Décret du 24 juillet 2019 autorisant le transfert des cendres de Maurice Genevoix au Panthéon », legifrance.gouv.fr (consulté le ).
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