source wikipédia

Alfred de Musset
Portrait de Musset par Charles Landelle.
Fonction
Fauteuil 10 de l'Académie française
-
Emmanuel Dupaty
Victor de Laprade
Biographie
Naissance

Paris, Empire français
Décès
(à 46 ans)
Paris, Empire français
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Alfred de Musset (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Louis-Charles-Alfred de Musset-Pathay
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Lycée Henri-IVVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Poète, dramaturge et romancier
Période d'activité
À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Rédacteur à
Revue des Deux MondesVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Victor-Donatien de Musset-PathayVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Paul de MussetVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie française (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Romantisme
Distinctions
Concours général ()
Chevalier de la Légion d'honneur? ()
Prix Maillé-Latour-Landry ()Voir et modifier les données sur Wikidata
?uvres principales
  • Les Caprices de Marianne (1833)
  • On ne badine pas avec l'amour (1834)
  • Lorenzaccio (1834)
  • Fantasio (1834)
  • La confession d'un enfant du siècle (1836)
signature d'Alfred de Musset
Signature
Vue de la sépulture.

Alfred de Musset est un poète, dramaturge et écrivain français de la période romantique, né le à Paris, où il meurt le .

Il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie à 19 ans Contes d'Espagne et d'Italie, son premier recueil poétique. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché », marquée par sa liaison avec George Sand, tout en écrivant des pièces de théâtre : À quoi rêvent les jeunes filles en 1832, Les Caprices de Marianne en 1833, puis le drame romantique Lorenzaccio ? son chef-d'?uvre ?, Fantasio et On ne badine pas avec l'amour. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d'août (1836), La Nuit d'octobre (1837) et un roman autobiographique, La Confession d'un enfant du siècle, en 1836.

Dépressif et alcoolique, il écrit de moins en moins après l'âge de 30 ans. On peut cependant relever les poèmes Tristesse, Une soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles (Histoire d'un merle blanc, 1842). Il reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852 au fauteuil 10. Il écrit des pièces de commande pour Napoléon III. Mort à 46 ans, il est enterré dans la discrétion au cimetière du Père-Lachaise.

Redécouvert au XX siècle, notamment dans le cadre du TNP de Jean Vilar et Gérard Philipe, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des plus grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche (Gamiani ou Deux nuits d'excès, 1833), une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse, qu'illustrent emblématiquement ses relations avec George Sand ou Pauline Garcia.

Biographie

[modifier | modifier le code]

Enfance

[modifier | modifier le code]

Né sous le Premier Empire, le , dans la rue des Noyers (incorporée au boulevard Saint-Germain au milieu du XIX siècle), Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, lui ayant transmis le goût des lettres et des arts. Il prétend avoir pour arrière-grand-tante Jeanne d'Arc (son ancêtre Denis de Musset ayant épousé Catherine du Lys) et être cousin de la branche cousine de Joachim du Bellay. Une de ses arrière-grand-mères est Marguerite Angélique du Bellay, femme de Charles-Antoine de Musset.

Son père, Victor Donatien de Musset-Pathay, est un haut fonctionnaire, chef de bureau au ministère de la Guerre, et un homme de lettres né le près de Vendôme. Aristocrate libéral, il a épousé le Edmée-Claudette-Christine Guyot des Herbiers, née le , fille de Claude-Antoine Guyot des Herbiers (dit Guyot-Desherbiers). Le couple a eu quatre enfants : Paul-Edme, né le , Louise-Jenny, née et morte en 1805, Alfred, né le et Charlotte-Amélie-Hermine, née le .

Son grand-père était poète, et son père était un spécialiste de Jean-Jacques Rousseau, dont il édita les ?uvres. La figure de Rousseau jouera en l'occurrence un rôle essentiel dans l'?uvre du poète. Il lui a rendu hommage à plusieurs reprises, attaquant au contraire violemment Voltaire, l'adversaire de Rousseau. Son parrain, chez qui il passe des vacances dans la Sarthe au château de Cogners, est l'écrivain Musset de Cogners. L'histoire veut que lors d'un de ses séjours dans le château de son parrain, la vue qu'il avait depuis sa chambre sur le clocher de l'église de Cogners lui ait inspiré la très célèbre Ballade à la Lune. Par ailleurs, il retranscrira toute la fraîcheur du calme et de l'atmosphère de Cogners dans ses deux pièces de théâtre On ne badine pas avec l'amour et Margot. En , alors qu'il n'a pas encore neuf ans, il est inscrit en classe de sixième au collège Henri-IV ? on y trouve encore une statue du poète ?, où il a pour condisciple et ami un prince du sang, le duc de Chartres, fils du duc d'Orléans, et obtient en 1827 le deuxième prix de dissertation latine au Concours général.

Scolarité

[modifier | modifier le code]

Après son baccalauréat, il suit des études, vite abandonnées, de médecine, de droit et de peinture jusqu'en 1829, mais il s'intéresse surtout à la littérature. Il fait preuve d'une grande aisance d'écriture, se comportant comme un virtuose de la jeune poésie. Le paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, une traduction française peu fidèle des Confessions d'un mangeur d'opium anglais de Thomas de Quincey.

Portrait en médaillon d'Alfred de Musset par David d'Angers (1831), département des monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France, Paris.

Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », ainsi que le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il témoigne de la sympathie pour Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ».

Poète

[modifier | modifier le code]

Il publie en 1829 son premier recueil poétique, les Contes d'Espagne et d'Italie, salués par Pouchkine. Il est d'ailleurs le seul poète français de son temps que le poète russe apprécie vraiment. En 1830, à 20 ans, sa notoriété littéraire naissante s'accompagne déjà d'une réputation sulfureuse alimentée par son côté dandy et ses débauches répétées dans la société des demi-mondaines parisiennes. La même année, la révolution et les journées des Trois Glorieuses donnent le trône au duc d'Orléans et son ancien condisciple, le duc de Chartres, devient prince royal.

Auteur de théâtre

[modifier | modifier le code]

En , il écrit sa première pièce de théâtre (seul ce genre littéraire apporte alors argent et notoriété aux auteurs) : sa comédie en un acte, La Nuit vénitienne, donnée le à l'Odéon, est un échec accablant. L'auteur déclare « adieu à la ménagerie, et pour longtemps », comme il l'écrit à Prosper Chalas. S'il refuse la scène, Musset n'en garde pas moins le goût du théâtre. Il choisit dès lors de publier des pièces dans la Revue des Deux Mondes, avant de les regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. La première livraison, en se compose de trois poèmes, d'un drame, La Coupe et les Lèvres, d'une comédie, À quoi rêvent les jeunes filles et d'un conte oriental, Namouna. Musset exprime déjà dans ce recueil la douloureuse morbidité qui lie débauche et pureté, dans son ?uvre. À 22 ans, le , Musset est anéanti par la mort de son père, dont il était très proche, victime de l'épidémie de choléra.

George Sand

[modifier | modifier le code]

En , il part pour Venise, en compagnie de George Sand, dont il a fait la connaissance lors d'un dîner donné aux collaborateurs de la Revue des deux Mondes le . Mais Musset fréquente les grisettes pendant que George Sand est malade de la dysenterie et lorsqu'elle est guérie, Musset tombe malade à son tour, George Sand devenant alors la maîtresse de son médecin, Pietro Pagello. Ce voyage lui inspirera Lorenzaccio, considéré comme le chef-d'?uvre du drame romantique, qu'il écrit en 1834.

Chefs-d'?uvre

[modifier | modifier le code]

De retour à Paris, le , il publie la deuxième livraison de son « Spectacle dans un fauteuil », comprenant Les Caprices de Marianne, parue en revue en 1833, Lorenzaccio, inédit, André del Sarto (1833), Fantasio (1834) et On ne badine pas avec l'Amour (1834). Le Chandelier paraît dans la Revue des deux Mondes en 1835, Il ne faut jurer de rien en 1836 et Un caprice en 1837. Il écrit également des nouvelles en prose et La Confession d'un enfant du siècle, son autobiographie à peine déguisée dédiée à George Sand et dans laquelle il transpose les souffrances endurées.

De 1835 à 1837, Musset compose son chef-d'?uvre lyrique, Les Nuits, rivales de celles d'Edward Young, James Hervey ou Novalis. Ces quatre poèmes : la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d'août en 1836 et La Nuit d'octobre en 1837 ? sont construits autour des thèmes imbriqués de la douleur, de l'amour et de l'inspiration. Très sentimentaux, ils sont désormais considérés comme l'une des ?uvres les plus représentatives du romantisme français.

En 1836 il publie son roman autobiographique La Confession d'un enfant du siècle.

Alfred de Musset vu par le sculpteur François Biron (1849-1926)

Vie sentimentale

[modifier | modifier le code]

Après sa séparation définitive d'avec George Sand, en , il tombe amoureux de l'épouse d'un juriste et s?ur de son ami Edmond d'Alton-Shée, pair de France, Caroline Jaubert, qu'il appelle "la petite fée blonde". Leur liaison dure trois semaines avant de reprendre à la fin de 1835 ou au début de 1836. Hôte assidu de son salon, il en fera sa « marraine » et sa confidente, notamment tout au long de leur correspondance, qui s'étend sur vingt-deux ans. C'est chez elle qu'il fait la connaissance, en , d'Aimée-Irène d'Alton, sa cousine, avec laquelle il entame une liaison heureuse et durable. Elle lui propose même de l'épouser. Abandonnée par Musset pour Pauline Garcia, qui se refuse à lui, elle épousera son frère Paul le . Alfred rencontre, le , à la sortie du Théâtre-Français, la comédienne Rachel, qui l'emmène souper chez elle, ils ont une brève liaison en juin. En 1842, la princesse Christine de Belgiojoso, amie de Caroline Jaubert, lui inspire une passion malheureuse.

Vers la fin du XIX siècle, de nombreux articles de presse indiqueront qu'Alfred de Musset serait le père d'une fille « cachée » et connue sous le nom de Norma Tessum Onda, pseudonyme du modèle Joséphine-Marie Ménard, né en 1854. Cette affirmation s'avérera n'être qu'une supercherie.

Retour au théâtre

[modifier | modifier le code]

De 1848 à 1850, il a une liaison avec la comédienne M Despréaux, qui avait découvert Un caprice dans une traduction russe de Alexandra Mikhaïlovna Karatiguine à Saint-Pétersbourg, et l'avait créé au théâtre Michel, le théâtre français de Saint-Pétersbourg, en 1843, dans le rôle de M de Léry. Elle reprend la pièce au Théâtre-Français en 1847. C'est grâce à cette pièce que Musset rencontre enfin le succès au théâtre, Théophile Gautier qualifie la pièce, dans La Presse, « tout bonnement de grand événement littéraire. »

Bibliothécaire

[modifier | modifier le code]

Grâce à l'amitié du duc d'Orléans, il est nommé bibliothécaire du ministère de l'Intérieur le . Le duc d'Orléans meurt accidentellement en 1842.

Après la Révolution française de 1848, ses liens avec la monarchie de Juillet lui valent d'être révoqué de ses fonctions par le nouveau ministre Ledru-Rollin, le . Puis, sous le Second Empire, il devient bibliothécaire du ministère de l'Instruction publique, avec des appointements de trois mille francs, le .

Nommé chevalier de la Légion d'honneur le , en même temps que Balzac, il est élu à l'Académie française le au siège 10 du baron Dupaty, après deux échecs en 1848 et 1850. La réception a lieu le suivant. Il fête le même jour sa nomination comme chancelier perpétuel au bordel et ses débordements alcooliques lui valent, de la part d'Eugène de Mirecourt, la formule de « chancelant perpétuel » au « verre qui tremble ». Ces crises convulsives, associées à des troubles neurologiques, font penser à une syphilis au stade tertiaire qu'il aurait contractée dans un bordel à 15 ans.

En 1852, il a quelque temps, une liaison avec Louise Colet, la maîtresse de Flaubert.

Décès

[modifier | modifier le code]

De santé fragile, mais surtout en proie à l'alcoolisme, à l'oisiveté et à la débauche, il meurt de la tuberculose le à 3h15 du matin à son domicile du 6 rue du Mont-Thabor - Paris 1, quelque peu oublié. Cependant Lamartine, Mérimée, Vigny et Théophile Gautier assistent à ses obsèques en l'église Saint-Roch. On n'a révélé la mort de son fils à sa mère, qui était partie vivre chez sa fille Hermine à Angers, qu'après son enterrement.

Tombe d'Alfred de Musset au cimetière du Père-Lachaise.

Le poète est inhumé à Paris, au cimetière du Père Lachaise (4 division), où son monument funéraire se dresse sur l'avenue principale. Sur la pierre sont gravés les six octosyllabes de son élégie Lucie :

Mes chers amis, quand je mourrai,
Plantez un saule au cimetière.
J'aime son feuillage éploré ;
La pâleur m'en est douce et chère,
Et son ombre sera légère
À la terre où je dormirai.

et sur la face arrière, le poème Rappelle-toi :

Rappelle-toi, quand sous la froide terre
Mon c?ur brisé pour toujours dormira ;
Rappelle-toi, quand la fleur solitaire
Sur mon tombeau doucement s'ouvrira.
Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle
Reviendra près de toi comme une s?ur fidèle.
Écoute, dans la nuit,
Une voix qui gémit :
Rappelle-toi.

En 1859, George Sand publie Elle et Lui, roman épistolaire d'inspiration autobiographique. Elle y révèle en particulier l'héautoscopie dont souffrait Musset, forme de dépersonnalisation qui explique le caractère hallucinatoire de La Nuit de décembre. Jugeant son frère calomnié par l'ensemble du roman, Paul de Musset lui réplique, six mois plus tard, en faisant paraître Lui et Elle.

  1. ? Gonzague Saint Bris, Alfred de Musset, Paris, Grasset, , 320 p. (ISBN 978-2-246-75251-6, lire en ligne).
  2. ? Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, bureau du Nobiliaire universel de France, (lire en ligne), p. 48.
  3. ? Elle est née au château de Loré à Oisseau.
  4. ? François-Xavier de Feller, Biographie universelle, ou Dictionnaire historique des hommes qui se sont fait un nom par leur génie, leurs talents, leurs vertus, leurs erreurs ou leurs crimes, Paris, J. Leroux, Jouby & Cie, et Gaume frères, 1849, tome VI, p. 155.
  5. ? Paul de Musset, Biographie de Alfred de Musset : sa vie et ses ?uvres, G. Charpentier, 1877, 372 pages, p. 18.
  6. ? Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Paris, 1815, tome VI, p. 105.
  7. ? Les Cahiers haut-marnais, 1953, p. 139.
  8. ? Mariée le 13 avril 1846 à Timoléon-Désiré Lardin, veuf depuis le 14 mars 1844, elle est décédée le . Ils ont eu un fils, Paul. Voir la Revue d'histoire littéraire de la France, Société d'histoire littéraire de la France, A. Colin., 1957, p. 354.
  9. ? André Durand, Comptoir Littéraire (18)
  10. ? Voir Pierre Gastinel, Le romantisme d'Alfred de Musset, Librairie Hachette, 1933, 700 pages, p. 4, et Maurice Allem, Alfred de Musset, B. Arthaud, 1948, 241 pages, p. 15.
  11. ? Louise Both-Hendriksen, La triade française : Alfred de Musset, Lamartine, et Victor Hugo, C. Schoenhof, 1886, 198 pages, p. VII.
  12. ? Dont la Ballade à la Lune qui décrit un couple de bourgeois au lit sous l'?il goguenard de la lune, ce qui lui vaut d'être qualifié de poète licencieux par la critique littéraire classique.
  13. ? Voir Jean-Louis Backès et Henriette Levillain, Le sens du détour : contribution à la littérature comparée, Paris, Klincksieck, coll. « Bibliothèque française et romane. » (n 88), , 200 p. (ISBN 978-2-252-03526-9, OCLC 60845870), p. 198-199, et les ?uvres complètes de Pouchkine (édition critique d'André Meynieux), A. Bonne, 1953, p. 362.
  14. ? Michel Cadot, Victor Hugo lu par les Russes, Paris, Maisonneuve et Larose, coll. « Victor Hugo et l'Orient » (n 9), , 58 p. (ISBN 978-2-7068-1544-7, OCLC 490655237), p. 8.
  15. ? La comédie est arrêtée après deux représentations au théâtre de l'Odéon, notamment à cause des sifflets du public et du ridicule subi par la comédienne principale dont la robe est tachée par la peinture des décors encore fraîche.
  16. ? Anne-Simone Dufief, Le théâtre au XIXe siècle : du romantisme au symbolisme, Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis, Bréal, coll. « Amphi lettres », , 223 p. (ISBN 978-2-84291-787-6), p. 85-86.
  17. ? C'est l'avis de Maurice Allem (Alfred de Musset, B. Arthaud, 1948, 241 pages, p. 111), Joyce G. Bromfield (De Lorenzino de Medicis a Lorenzaccio, vol. 64 des Études de littérature étrangère et comparée, M. Didier, 1972, 220 p., p. 168), Pierre-Henry Bornecque (La France et sa littérature : guide complet dans le cadre de la civilisation, A. Desvigne, 1968, 896 p., p. 505), Denise P. Cogny (Alfred de Musset, Lorenzaccio: drame avec une biographie chronologique de Musset, une étude générale de son ?uvre, une analyse méthodique de la pièce des notes des questions, des sujets de devoirs, Éditions Bordas, 1967, 192 pages, p. 30), ou Pierre Gastinel (Alfred de Musset, Comédies et proverbes, Société Les Belles lettres, 1957, p. 353). Pour Philippe van Tieghem (Histoire de la littérature française, Fayard, 1949, 724 pages, p. 441), c'est « le seul chef-d'?uvre authentique du drame romantique ».
  18. ? Loïc Chotard, Approches du XIXe siècle, Paris, Presses de l'Université Paris-Sorbonne, , 454 p. (ISBN 978-2-84050-168-8), « Confession à la marraine : Les lettres de Musset à Caroline Jaubert », p. 163-172.
  19. ? Site gallica.bnf.fr, Une du journal Le Gaulois du 4 décembre 1896.
  20. ? Eugène de Mirecourt, Alfred de Musset, J.-P. Roret et cie, , p. 79.
  21. ? Émile Henriot, L'enfant Du Siècle : Alfred De Musset, Amiot Dumont, , 244 p., p. 167.
  22. ? Malformation cardiaque, voir le signe de Musset.
  23. ? Recueil des inscriptions parisiennes : 1881-1891 / Ville de Paris.
  24. ? Ariane Charton, Alfred de Musset, Paris, Gallimard, coll. « Folio biographies » (n 61), , 323 p. (ISBN 978-2-07-030785-2), p. 267.
  25. ? appl, « MUSSET Alfred de (1810-1857) », sur Cimetière du Père Lachaise - APPL, (consulté le ).
  26. ? « Il avait eu une hallucination? » George Sand, Elle et lui, p. 112, Hachette, Paris, 1859.
La suite sur Wikipedia...