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Paul Verlaine
Verlaine en 1893 (49 ans) par Otto Wegener.
Biographie
Naissance
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Metz (Moselle)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 51 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière des BatignollesVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Pablo de Herlagnez, Pablo-Maria de Herlañes, Pierre et Paul, Pauvre Lelian
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Lycée CondorcetVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Écrivain
Poète
Nouvelliste
Critique littéraire
Critique d'art
Période d'activité
À partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Rédacteur à
Chimère (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Nicolas Verlaine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Élisa Verlaine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Mathilde MautéVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Georges VerlaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Mouvement
Parnasse
Symbolisme
Décadentisme
Genre artistique
Poésie
Autobiographie
Nouvelle
Critique littéraire
Critique d'art
Condamné pour
SodomieVoir et modifier les données sur Wikidata
Lieux de détention
Hotel Amigo (d) (), Vouziers (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Adjectifs dérivés
Distinction
Prince des poètes (1894-1896)
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 3698, 1, -)Voir et modifier les données sur Wikidata
?uvres principales
signature de Paul Verlaine
Signature

Paul Verlaine, né le à Metz (Moselle) et mort le à Paris, est un écrivain et poète français.

Il s'essaie à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens, à 22 ans. Sa vie est bouleversée quand il rencontre Arthur Rimbaud en . Leur vie amoureuse tumultueuse et errante en Angleterre et en Belgique débouche sur la scène violente où, à Bruxelles, Verlaine, d'un coup de revolver, blesse au poignet celui qu'il appelle son « époux infernal ». Jugé et condamné, il passe deux années en prison, renouant avec le catholicisme de son enfance et écrivant les poèmes des recueils Sagesse (1880), Jadis et Naguère (1884) et Parallèlement (1889). Usé par l'alcool et la maladie, Verlaine meurt à 51 ans, le , d'une pneumonie aiguë.

Archétype du poète maudit (notion qu'il a lui-même forgée), Verlaine est reconnu comme un maître par la génération suivante. Son style ? fait de musicalité et de fluidité jouant avec les rythmes impairs ? et la tonalité de nombre de ses poèmes ? associant mélancolie et clairs-obscurs ? révèlent, au-delà de l'apparente simplicité formelle, une profonde sensibilité, en résonance avec l'inspiration de certains artistes contemporains, des peintres impressionnistes ou des compositeurs (tels Reynaldo Hahn, Gabriel Fauré, Charles Koechlin et Claude Debussy, qui mettront d'ailleurs en musique plusieurs de ses poèmes).

  1. ? Pseudonyme utilisé lors de la publication des Amies en 1867. Pablo de Herlagnez est le pseudonyme de la première édition alors que Pablo-Maria de Herlañes est celui de la seconde.
  2. ? Pseudonyme utilisé pour signer des textes critiques sur sa propre ?uvre, comme dans Les Hommes d'aujourd'hui, n 244, (1885, complétée en 1894), Paul Verlaine.
  3. ? « ark:/36937/s005afd5ff3022fc », sous le nom VERLAINE Paul (consulté le )
  4. ? « Metz 1844, Naissances, section 3 : acte n 57 du  », vue 16-17.
  5. ? « Paris Ve 1896, Décès : acte n°67 du 9 janvier 1896 », sur archives.paris.fr (consulté le ), vue 10.

Biographie

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La maison natale de Paul Verlaine à Metz.

Enfance

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Après treize ans de mariage, Nicolas-Auguste Verlaine et son épouse Élisa-Stéphanie Dehée donnent naissance, le , au 2 rue de la Haute-Pierre, à Metz, à un fils qu'ils prénomment Paul-Marie en reconnaissance à la Vierge Marie pour cette naissance tardive, Élisa ayant fait auparavant trois fausses couches. Catholiques, ils le font baptiser en l'église Notre-Dame de Metz. Paul restera le fils unique de cette famille de petite-bourgeoisie assez aisée qui élève aussi, depuis 1836, une cousine orpheline prénommée Élisa.

Son père, né à Bertrix (Belgique), militaire de carrière, atteint le grade de capitaine avant de démissionner de l'armée en 1851 : la famille Verlaine quitte alors Metz pour Paris, d'abord rue des Petites-Écuries, puis dans le quartier des Batignolles. Enfant aimé et plutôt appliqué, il est mis en pension à l'institution Landry, 32 rue Chaptal, les enfants pensionnaires à Landry suivent leurs cours au lycée Condorcet. Paul Verlaine devient un adolescent difficile, et obtient finalement son baccalauréat en 1862.

Entrée dans la vie adulte

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Frédéric Bazille, Paul Verlaine (1867), huile sur toile, annotée « à mon cher ami le poète Paul Verlaine » », localisation inconnue.
Photographies de Paul Verlaine jeune, entre 1860 et 1870.

C'est durant sa jeunesse qu'il s'essaie à la poésie. En effet, en 1860, la pension est pour lui source d'ennui et de dépaysement. Bachelier, il s'inscrit en faculté de droit, mais abandonne ses études, leur préférant la fréquentation des cafés et des cercles littéraires parisiens. Admirateur de Baudelaire, il se veut poète et, en , une revue publie son premier poème : Monsieur Prudhomme, portrait satirique du bourgeois qu'il reprendra dans son premier recueil. Il collabore au premier Parnasse contemporain et publie à 22 ans en 1866 les Poèmes saturniens qui traduisent l'influence de Baudelaire, mais aussi une musique personnelle orientée vers « la Sensation rendue ». En 1869, paraît le petit recueil Fêtes galantes, fantaisies inspirées par les toiles des peintres du XVIII siècle que le Louvre vient d'exposer dans de nouvelles salles. De 1869 à 1872, il se réunit régulièrement avec d'autres artistes adeptes du mouvement parnassien au sein du groupe nommé les Vilains Bonshommes.

Dans la même période, son père, inquiet de son avenir, le fait entrer en 1864 comme employé dans une compagnie d'assurance, puis, quelques mois plus tard, à la mairie du 9 arrondissement, puis à l'hôtel de ville de Paris. Il vit toujours chez ses parents et, après le décès du père en , chez sa mère avec laquelle il entretiendra une relation de proximité et de violence toute sa vie. Paul Verlaine est aussi très proche de sa chère cousine Élisa, orpheline recueillie dès 1836 et élevée par les Verlaine avec leur fils : il souhaitait secrètement l'épouser, mais elle se marie en 1861 avec un entrepreneur aisé (il possède une sucrerie dans le Nord) ce qui permettra à Élisa de l'aider à faire paraître son premier recueil (Poèmes saturniens, 1866). La mort en couches en 1867 de celle dont il restait amoureux le fait basculer un peu plus dans l'excès d'alcool qui le rend violent : il tente même plusieurs fois de tuer sa mère.

Celle-ci l'encourage à épouser Mathilde Sophie Marie Mauté (1853-1914) qu'un ami lui a fait rencontrer : il lui adresse des poèmes apaisés et affectueux qu'il reprendra en partie dans La Bonne Chanson, recueil publié le , mais mis en vente seulement l'année suivante, après la guerre et la Commune. Le mariage a lieu le (Paul a 26 ans et Mathilde 17) ; un enfant, Georges, naît le .

Le tumulte Rimbaud, puis le retour à la foi (1872-1875)

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Étienne Carjat, Portrait d'Arthur Rimbaud (vers 1872).

Cependant la vie de Paul Verlaine se complique durant la période troublée de la guerre franco-prussienne et de la Commune de Paris que soutient le jeune poète. Pendant le siège de Paris par les Prussiens, il s'est engagé dans la Garde nationale sédentaire où il est de garde une nuit sur deux dans un secteur calme.

Pendant la Commune de Paris de 1871, partisan de la révolution, il accepte d'être chef du bureau de la presse à l'Hôtel de Ville. Le , il sera condamné par contumace par le 4 conseil de guerre à la déportation en enceinte fortifiée et à la dégradation civique.

Il fuit Paris pour échapper à la répression versaillaise et est radié de l'administration.

Sa vie sans horizon devient tumultueuse après la rencontre en septembre 1871 d'Arthur Rimbaud ? alors âgé de 16 ans ? avec lequel il va vivre une relation amoureuse conflictuelle jusqu'en 1873, ruinant son mariage avec Mathilde qu'il frappe à plusieurs occasions après s'être saoulé à l'absinthe. Mi-janvier 1872, c'est cette fois à son enfant, qu'il délaisse au demeurant totalement, qu'il s'en prend, l'arrachant des bras de sa mère pour le jeter au mur. Mathilde pousse alors un cri déchirant qui interpelle ses parents qui débarquent immédiatement dans la chambre. Paul est à genoux sur Mathilde et lui enserre le cou de toutes ses forces. Monsieur Mauté se saisit de lui et le remet d'un geste sur ses pieds. Sans demander son reste, Verlaine quitte alors la maison et ne reparaît pas, préférant aller loger chez sa mère. Mathilde demande la séparation et obtient gain de cause par jugement du Tribunal civil de la Seine rendu le (le divorce sera prononcé le  : la loi Naquet qui le rétablit date du ).

Paul Verlaine vit par intermittence avec Arthur Rimbaud : leur relation affichée fait scandale et la violence de Rimbaud crée aussi le tumulte dans le Cercle des poètes zutiques où Verlaine l'a introduit. Finalement, « le pauvre Lelian » (anagramme de Paul Verlaine), comme il se nomme lui-même, part pour Londres avec « l'époux infernal » en , sa femme rompant de fait définitivement avec lui. Victor Hugo, apprenant la nouvelle, s'apitoie : « Effroyable histoire de Paul Verlaine. Pauvre jeune femme ! Pauvre petit enfant ! Et lui-même, qu'il est à plaindre ! ».

Durant des mois de vie errante en Angleterre et en Belgique qui nourriront le recueil Romances sans paroles se succèdent séparation et retrouvailles avec Rimbaud et de tentatives de retour à sa famille où sa mère ne l'abandonne pas. L'épisode Rimbaud s'achève au cours d'une dispute le à Bruxelles, par les coups de revolver de poche Lefaucheux de Paul Verlaine qui, craignant de voir s'éloigner son amant, le blesse superficiellement au poignet gauche. Incarcéré le jour même dans un centre de détention provisoire, il est inculpé pour son geste et stigmatisé pour son homosexualité. Il est condamné à deux ans de prison le , même si Rimbaud a retiré sa plainte, la pédérastie étant un élément aggravant. La sentence est confirmée en appel le et Verlaine est incarcéré à la prison de Bruxelles.

À la prison de Mons où il est transféré en , Verlaine ? influencé par la vie de Benoît Labre, béatifié en 1860 ? retrouve la foi catholique et écrit des poèmes qui prendront place dans ses derniers recueils Sagesse (1880), Jadis et Naguère (1884), Parallèlement (1889) et Invectives (1896), puis dans les ?uvres posthumes. La composition en prison de trente-deux poèmes (poésie naïve et savante teintée de lyrisme romantique, elle évoque sa crise d'identité), insérés dans ces recueils, est issue d'un manuscrit autographe datant de 1873-1875, intitulé Cellulairement, entré au musée des lettres et manuscrits depuis 2004 et classé trésor national depuis le .

Alphonse Liébert, Mathilde Mauté (vers 1870).

Libéré le avec une remise de peine de presque une année pour bonne conduite, Verlaine tente en vain une réconciliation avec Mathilde qui obtiendra finalement le divorce et la garde de son enfant en . Il passe deux jours et demi avec Rimbaud à Stuttgart « reniant son dieu » : c'est leur dernière rencontre et Rimbaud remet à Verlaine le texte des Illuminations que Verlaine fera publier en 1886.

Lucien Létinois ? apaisement passager (1877-1883)

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Le musée Verlaine à Juniville, ancienne auberge du Lion d'Or que fréquentaient Verlaine et Létinois de 1880 à 1882.

En , Verlaine s'installe à Londres comme professeur de grec, latin, français et dessin. Il passe ses vacances avec sa mère. Il rencontre Germain Nouveau, un ancien ami de Rimbaud, et enseigne ensuite dans différentes villes anglaises.

Il revient en France en . À la rentrée d'octobre, il occupe un poste de répétiteur en littérature, histoire, géographie et anglais au collège Notre-Dame de Rethel, tenu par des jésuites. Il se prend d'une vive affection pour l'un de ses élèves âgé de 17 ans, Lucien Létinois, fils d'un couple d'agriculteurs. Mais en , son contrat n'est pas renouvelé sous prétexte d'économies de gestion. En septembre, Paul et Lucien partent pour l'Angleterre, où ils enseignent séparément dans des villes différentes. Verlaine rejoint Lucien à Londres. La nature de leur relation reste l'objet de conjectures. La pièce VIII (Ô l'odieuse obscurité) de la section Lucien Létinois du recueil Amour semble désigner un lien charnel, nié par certains biographes. En tout état de cause, l'attachement de Paul Verlaine pour Lucien Létinois semble avoir été sincère et partagé. Verlaine reporte sur Lucien, dont il aime la douceur et admire la prestance, son amour paternel frustré. Lucien, plus docile et prévenant que Rimbaud, paraît avoir accepté de bonne grâce les sentiments protecteurs du poète.

Ils reviennent en France et vont vivre chez les parents de Lucien à Coulommes-et-Marqueny, au lieudit Malval. En , ils s'installent à Juniville, dans le sud du département des Ardennes. Avec l'argent de sa mère, Verlaine achète la ferme dite de la petite Paroisse, qu'il fait enregistrer au nom du père de Lucien (en plein divorce, il craint que sa femme fasse saisir la ferme). Mais l'affaire, mal gérée, périclite vite. En , Verlaine doit revendre la propriété à perte. Paul rentre à Paris. Lucien et ses parents s'installent à Ivry-sur-Seine.

Le , Lucien meurt subitement de la fièvre typhoïde à l'hôpital de la Pitié. Il n'a que 23 ans. Profondément désespéré par la perte de son « fils adoptif », Verlaine lui consacrera 25 poèmes, placés à la fin du recueil Amour (1888).

La déchéance

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Dornac, Portrait du poète Paul Marie Verlaine (1844-1896) au Café François 1, 69 boulevard Saint-Michel, 5 arrondissement, Paris (entre 1890 et 1896), photographie.

Rentré à Paris en 1882, Verlaine essaie en vain de réintégrer l'administration. Il renoue avec les milieux littéraires. En 1884, il publie un essai remarqué sur les Poètes maudits et le recueil Jadis et naguère, qui rassemble des poèmes écrits une décennie plus tôt et que couronne le célèbre Art poétique, publié en revue dès 1882, qui revendique un art « sans rien en lui qui pèse ou qui pose ». Il est alors reconnu comme un maître et un précurseur par les poètes partisans du symbolisme ou du décadentisme. Dans son roman À rebours paru en 1884, J.-K. Huysmans lui réserve une place prééminente au sein du Panthéon littéraire de Des Esseintes. À partir de 1887, sa célébrité dépasse même les cercles littéraires : le jeune compositeur Reynaldo Hahn chante dans le salon d'Alphonse Daudet, devant le poète, son premier cycle de mélodies, les Chansons grises, qui regroupe sept poèmes de l'auteur. En 1894, malgré sa négligence physique et l'opprobre attaché à son nom, il est désigné comme « Prince des Poètes ».

Le 39, rue Descartes à Paris en 2011.
On aperçoit la plaque commémorative au premier étage.

Son alcoolisme entraîne des crises de violence répétées. Il est emprisonné à Vouziers, du au , pour avoir tenté une nouvelle fois d'étrangler sa mère, avec laquelle il vit toujours (elle mourra le ). Longue déchéance, sa fin de vie est quasiment celle d'un clochard, hantant cafés et hôpitaux et condamné à des amours « misérables ». Soutenu par de rares subsides publics ou privés, il donne quelques conférences. Il ne produit plus guère que des textes d'occasion, dont les poèmes érotiques, voire pornographiques, d'Hombres. Souffrant de diabète, d'ulcères et de syphilis, il meurt d'une pneumonie aiguë le , à 51 ans, au 39 rue Descartes, dans le V arrondissement de Paris.

Tombe de Paul Verlaine, Paris, cimetière des Batignolles.

Ses obsèques, réglées par le Ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts alors dirigé par Combes, ont lieu le en l'église Saint-Étienne-du-Mont, en présence notamment de Gabriel Fauré, qui y tient les orgues, et de Montesquiou qui relate les funérailles dans De Verlanâ. Issé sur un corbillard de cinquième classe, la dépouille de Verlaine est conduite au cimetière des Batignolles à Paris, où il est inhumé dans la 20 division, et où des éloges funèbres sont prononcés par François Coppée, Stéphane Mallarmé, Catulle Mendès, Maurice Barrès, Jean Moréas, Gustave Kahn et Edmond Lepelletier. En 1989, sa tombe est transférée dans la 11 division, en première ligne du rond-point central.

En totale rupture avec la morale de son temps, Paul Verlaine apparaît comme une figure emblématique du poète maudit, aux côtés d'Arthur Rimbaud qu'il a fait connaître malgré leur rupture.

  1. ? Le père a alors 46 ans et la mère 35 ; cette dernière a gardé longtemps sur la cheminée familiale les bocaux renfermant les f?tus de ses fausses-couches. Cf. Michel Malherbe, L'Euphonie des « Romances sans paroles » de Paul Verlaine, Rodopi, 1994, p. 187.
  2. ? David Caviglioli, « Sodomie, alcool et revolver à six coups », sur Le Nouvel Obs, .
  3. ? Vannier 1993, p. 147 et suiv..
  4. ? Paul Verlaine
  5. ? Pierre Petitfils, Verlaine, biographie, éditions Julliard, 1981, page 21.
  6. ? Toile anciennement attribuée à Gustave Courbet (cf. sothebys.com).
  7. ? Lettre à Stéphane Mallarmé du 22 novembre 1866.
  8. ? Vannier 1993, p. 149.
  9. ? Denis Saint-Amand, « François Coppée ou les inimitiés électives », COnTEXTES « Varia »,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. ? Ernest Delahaye, Biographie de Paul Verlaine, 1917.
  11. ? Il meurt le 2 septembre 1926 ? sources BnF.
  12. ? Archives du Service historique de la Défense : 8J 130.
  13. ? Biographie de Verlaine : « Verlaine et Rimbaud : la rencontre » sur bibliolettres.com.
  14. ? Mathilde Mauté, Mémoires de ma vie, Champ Vallon, 1992, p. 141.
  15. ? Mathilde Mauté, Mémoires de ma vie, Editions Champ Vallon, , 285 p. (ISBN 9782876731349, lire en ligne), p. 153.
  16. ? Archives de Paris,, Témoins de l'histoire aux archives de Paris : portraits et documents, Paris, Archives de Paris, , 113 p. (ISBN 978-2-86075-014-1 et 2860750142, OCLC 869803786).
  17. ? « verlaine, paul dossier sur le di - document - sotheby's pf1203lot677sten », sur sothebys.com (consulté le ).
  18. ? Victor Hugo, Choses vues, 1870-1885, Paris, Gallimard, folio, , 529 p. (ISBN 2-07-036141-1), p. 288.
  19. ? Bernard Bousmanne et René Guitton, « Reviens, reviens cher ami » : Rimbaud-Verlaine, l'affaire de Bruxelles, Paris/Bruxelles, Calmann-Lévy, , 169 p. (ISBN 2-7021-3721-0), p. 169.
  20. ? Post Scriptum Cellulairement de Paul Verlaine sur le site du musée des lettres et manuscrits.
  21. ? Lettre de Paul Verlaine à Edmond Lepelletier du 14 novembre 1877.
  22. ? « Lucien Létinois », sur vudumont.com (consulté le ).
  23. ? Une lettre de remerciements pour son travail lui est adressée par l'abbé Léon Denis, directeur de l'Institution.
  24. ? Tels Antoine Adam (pour qui Verlaine évoquerait la brève aventure de Lucien avec une jeune fille précédemment rencontrée à Boston) et Edmond Lepelletier.
  25. ? Son épouse a obtenu la garde de leur fils Georges.
  26. ? Voir Edmond Lepelletier.
  27. ? L'auberge, située face à l'endroit où demeurait le poète, est aujourd'hui un musée Verlaine.
  28. ? Vannier 1993, p. 154-155.
  29. ? Notice de l'exemplaire du musée Carnavalet à Paris.
  30. ? Biographie de Reynaldo Hahn sur musicologie.org.
  31. ? Vannier 1993, p. 154-157.
  32. ? Paul Verlaine sur memo.fr.
  33. ? Biographie de Verlaine : « La vie sans Rimbaud », bibliolettres.com.
  34. ? Antoine Bertrand, « « Pauvre Lelian » et « Grotesquiou » », dans Pierre Brunel et André Guyau (dirs.), Paul Verlaine : Colloques de la Sorbonne, Presses de l'université Paris-Sorbonne, (ISBN 2-84050-365-4), p. 23
  35. ? Robert de Montesquiou, Altesses Sérénissimes, Librairie Félix Juven, 1907, p. 216-217
  36. ? Edmond Lepelletier, Paul Verlaine : Sa vie, son ?uvre, Société du Mercure de France, (lire en ligne), chap. XVII
  37. ? « Verlaine, sa mort, sa tombe » sur tombes-celebrites.com.
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